The Osiris myth is the most elaborate and influential story in ancient Egyptian mythology. It concerns the murder of the god Osiris, a primeval king of Egypt, and its consequences. Osiris's murderer, his brother Set, usurps his throne. Meanwhile, Osiris's wife Isis restores her husband's body, allowing him to posthumously conceive a son with her. The remainder of the story focuses on Horus, the product of the union of Isis and Osiris, who is at first a vulnerable child protected by his mother and then becomes Set's rival for the throne. Their often violent conflict ends with Horus's triumph, which restores order to Egypt after Set's unrighteous reign and completes the process of Osiris's resurrection. The myth, with its complex symbolism, is integral to the Egyptian conceptions of kingship and succession, conflict between order and disorder, and especially death and the afterlife. It also expresses the essential character of each of the four deities at its center, and many elements of their worship in ancient Egyptian religion were derived from the myth.
The Osiris myth reached its basic form in or before the 24th century BCE. Many of its elements originated in religious ideas, but the struggle between Horus and Set may have been partly inspired by a regional conflict in Egypt's early history or prehistory. Scholars have tried to discern the exact nature of the events that gave rise to the story, but they have reached no definitive conclusions.
Parts of the myth appear in a wide variety of Egyptian texts, from funerary texts and magical spells to short stories. The story is, therefore, more detailed and more cohesive than any other ancient Egyptian myth. Yet no Egyptian source gives a full account of the myth, and the sources vary widely in their versions of events. Greek and Roman writings, particularly De Iside et Osiride by Plutarch, provide more information but may not always accurately reflect Egyptian beliefs. Through these writings, the Osiris myth persisted after knowledge of most ancient Egyptian beliefs was lost, and it is still well known today.
Plutarch (later named, upon becoming a Roman citizen, Lucius Mestrius Plutarchus; AD 46–AD 120) was a Greek historian, biographer, and essayist, known primarily for his Parallel Lives and Moralia. He is classified as a Middle Platonist. Plutarch's surviving works were written in Greek, but intended for both Greek and Roman readers.
M-au zăpăcit toți zeii egipteni și corespondenții lor greci și romani, cu numele lor constant schimbate, este, apoi nu mai este, într-un oraș este unul, in altul, este altul. Notele de subsol pot spune că formează o a doua carte întrucât sunt numeroase și foarte utile. Daca nu ar fi fost acestea, cartea aceasta ar fi fost extrem de greu de citit, de înțeles, pentru cineva care nu a studiat istoria religiilor.
C’est la première des œuvres morales de Plutarque qui traite entièrement de théologie, et je dois avouer que je me suis régalé. Dans cet ouvrage d’un intérêt considérable, l’auteur se livre à la présentation et à l’exégèse d’un mythe égyptien, celui qui relate les amours d’Isis et d’Osiris, contrariés par leur frère Seth, appelé ici Typhon. Avant que Champollion ne nous rende la clef des hiéroglyphes, ce texte était pratiquement la seule source substantielle nous permettant d’avoir une idée de l’ancienne religion des égyptiens, les autorités chrétiennes ayant définitivement fermé les temples dans la basse antiquité. Pour remettre un peu les choses dans le contexte, il faut bien voir que ce texte a été écrit par le prêtre de l’Oracle de Delphes, l’un des plus important de la Grèce antique, à la fin du premier siècle de notre ère, sous l’empire romain, alors que le monde connu est brassé comme jamais, que les Grecs sont installés en Égypte depuis plusieurs siècles, et que l’exotisme des cultes Orientaux, qui en imposent par leur aura de mystère et d’antiquité, font fureur en Occident (Mithra, Isis, et bientôt le Christianisme…), tandis que les anciens dieux sont progressivement délaissés. On comprend vite que pour Plutarque, la question de la foi est très secondaire, à côté de la philosophie : il dédaigne franchement la première au profit de la seconde.
Le mythe en lui-même est raconté de manière très détaillée, mais Plutarque s’empresse d’expliquer au lecteur qu’il ne faut surtout pas commettre l’erreur stupide du commun de s’arrêter au sens obvie, ni même à la première explication venue, mais qu’il importe de développer une étiologie large et érudite, qui plonge ses racines dans la philosophie, afin de se garder de deux périls : d’une part la superstition, d’autre part l’athéisme. C’est très intéressant d’avoir toutes ces explications de Plutarque, car il apparaît bien vite que le champ de bataille ne se situe nullement dans le champ théologique, ou dans la croyance, mais bien dans les controverses philosophiques du temps. Plutarque, qui aime Platon, désigne par la superstition les Stoïciens, qui croient en une providence unique, mais se heurtent au problème du mal dont ils affublent la divinité, la rendant menaçante, et poussant par là même à la superstition (littéralement en grec, crainte du divin). A l’inverse, les athées, ce sont les Épicuriens, non pas tant parce qu’ils ne croiraient pas dans les Dieux, qu’il ne conjecturent plutôt qu’ils ne se préoccupent pas de nous, et in fine, se comportent comme s’ils n’existaient pas, ne se préoccupant pas d’eux. Entre ces deux extrêmes, Plutarque propose une explication qui sauve la haute idée qu’il se fait de la divinité en invoquant l’existence de créatures mêlées mi-divines mi-humaines, les démons (daïnumi en grec, signifie partager), auxquels il attribue l’existence du mal, et qui travailleraient à contrecarrer l’œuvre bienfaisante et bienveillante de la divinité. On connaît la fortune que connaîtra cette conception démonologique, et la fureur autour du diable et des sorcières sera hélas bien loin de combattre la superstition, mais excitera plutôt la malice et la fureur des hommes.
A côté de ces querelles philosophiques, à l’égard des autres religions, Plutarque est plus que tolérant, il est carrément inclusif et synthétique : toute manifestation de piété, il cherche à la rattacher à ce qu’il connaît, et multiplie les étiologies (recherches de causes) à l’infini, pourvu qu’elles conservent ses propres opinions philosophiques, ainsi qu’une même unité des choses divines. Ainsi, même s’il cite une exégèse evhémériste (Evhémère était un ancien qui avait pour opinion que les Dieux étaient d’anciens grands hommes bienfaiteurs de l’humanité qui avaient été par la suite divinisés), il l’écarte, car elle pourrait nourrir l’athéisme. Par contre, il ne dédaigne ni la physique, ni la géométrie, ni l’arithmétique, ni l’histoire, ni l’étymologie, ni la morale pour construire des interprétations propres à s’harmoniser avec le mythe. Il est très souple et se contredit même par endroit, mais cela n’est pas gênant : l’important, c’est d’avoir une bonne provision d’interprétation, peu importe si elles sont vraies, là n’est pas le problème. Tout vise à une immense synthèse du réel. Plutarque le mystagogue revendique même clairement qu’il ne s’agit pas tant de découvrir une vérité cachée dont le temps nous aurait fait perdre la clef, que d’utiliser le mythe comme véhicule de connaissance et de transmission à l’égard du commun des hommes et de la postérité. Il s’attarde longuement à tracer des parallèles entres les divinités grecques et égyptiennes, et va même chercher chez les Perses Manichéistes de quoi souscrire à sa vision.
Ce texte est passionnant à plusieurs titres, par l’unicité des informations qu’il nous a transmis sur la conception du divin que pouvaient avoir les anciens, sur la religion égyptienne en particulier. L’approche de Plutarque, très imprégné de philosophie, rend son texte limpide et facile à suivre, et c’est un vrai régal que de suivre ce sympathique mystagogue soulever le voile antique de la religion, et y promener la belle lumière grecque.
La rilettura del mito egizio attraverso la lente filosofica platonica rivela con chiarezza la fascinazione universale per l’eterna lotta tra Caos e Ordine. Ogni cultura, pur nella varietà dei suoi dèi, riti e narrazioni, è attraversata dalla medesima ansia di comprendere il mondo e il proprio posto al suo interno
Mert az ember nem kaphat nagyobb dolgot az igazság felismerésénél, s az isten sem adhat ennél becsesebbet. (Plut. De Iside, 1.)
Az Európa Könyvkiadónál 1986-ban megjelenő kötet (6000 példányban) W. Salgó Ágnes fordításában adja közre Plutarkhosz e kései művét, előzménye az ELTE Ókori Történeti Tanszékei által közreadott 1976-os, mindössze néhány száz példányban megjelenő fordítás Bollók János és Wojtilla Ágnes tollából, jelen összefoglalás az előbbi, könnyebben hozzáférhető fordításból dolgozik. A kötet Apuleius mellett az egyik legfontosabb forrása az Ízisz-kultusz megértésének és vizsgálatának.
A nyolcvan fejezetből álló értekezés első szakaszában (1-11. fejezet) az igazság megismeréséről, majd különféle étkezési és öltözködési szokásokról olvashatunk, a papok által viselt lenruha a növényi, földi eredetet hangsúlyozza, valamint a tisztaságot jelképezi, a feleslegtől való mentességet, ami az ételfogyasztásban is megnyilvánul. A szentélyben bort sem szabad fogyasztani, a tengeri halakkal kapcsolatban is fenntartásaik vannak, valamint a disznót és a hagymát is tisztátalan dolognak tekintik. A 9-10. fejezet már a papok személyéről szól, megnevezésükről, szabályrendszerükről, és a furcsa szokások szellemi-vallási megalapozottságáról.
A következő szakasz (12-21. fejezet) a tulajdonképpeni sedes materiae, az Iszisz és Oszirisz mítosz elmesélése, amelyre aztán számtalan utalást találunk az egyiptomi templomi feliratokon, valamint a későbbi irodalomban. A történetet számos kiegészítéssel, variánsban megjelenő motívumokkal gazdagítja Plutarkhosz, Rhea és Zeusz nászára vezeti vissza a mítosz kezdetét, amit Héliosz azzal átkozott meg, hogy Rhea egyetlen hónapban, egyetlen évben sem szülhessen, azonban Hermész elmésen elnyeri Szelénétől minden nap hetvenedrészét, ami kiegészíti a háromszázhatvan napot még öt nappal, így ebben az időablakban lehetősége volt megszülni Osziriszt (az első napon). Második napon született Apollón, harmadikon Tüphón, negyedik napon Iszisz, majd az ötödiken Teleuté/Aphrodité/Niké. Oszirisz Iszisszel lépett nászra, Tüphón pedig Teleutéval. Oszirisz uralkodóként lép fel, civilizáló hérosz szerepében, megismertette az egyiptomiakkal a föld terményeit, törvényeket adott, és megtanította őket az istenek tiszteletére, sokan már a korban is Dionüszosszal azonosították. Tüphón azonban ármányt szőtt, egy ládába fektette Osziriszt, majd rázárta, és a ládát a tengerre eresztették. Amikor Iszisz tudomást szerez a dologról, a keresésére indul, addigra a ládát már körbenövi egy fa, amit a bübloszi király használt fel tartóoszlopnak a háztetőjéhez. Bübloszban álruhában érkezik Iszisz, dajkának fogadják, halhatatlanná akarja tenni a királyi gyermeket tűzben sütögetéssel, ám felfedezik, de amikor büntetésre kerülne a sor, felfedi magát, elkéri a tartóoszlopot és elviszi, felnyitja és gyászolja szeretett férjét és testvérét, Osziriszt. Természetesen nem megkerülhető az azonosság az eleusziszi misztériumokkal, Perszephoné elrablásával és Démétér bolyongásával egybekötve. Amikor Iszisz meglátogatja a fiát, otthagyja a koporsót, miközben Tüphón, az álnok, tizennégy darabra szaggatja a testét és szétszórja, ezért van annyi sírja Oszirisznek szerte Egyiptomban. Később Oszirisz feljön az alvilágból és felkészíti fiát, Hóroszt a küzdelemre Tüphón ellen, amiből végül Hórosz került ki győztesen.
Az kötet harmadik nagyobb szellemi egysége (22-24. fejezet) a magyarázat, amiben az euhémerisztikus magyarázat (emberből istenné válás) helyett a daimónhit mellett foglal állást, az emberi és isteni világ köztes lényeit vizsgálja, amely Platónnál a dualisztikus világszemléletben kiemelt szerepet kapott. A 25. fejezettől kezdve számos szöveghelyet beidéz Plutarkhosz, amellyel bizonyítja, hogy tulajdonképpen Tüphón a rossz daimónja, Oszirisz pedig a jóé, és ebből a jó daimón állapotból fog Iszisz és Oszirisz is istenné válni (30. fejezet).
A 32-41. fejezet egy allegorikus magyarázatot kínál a mítosz megfejtésére, amelyben Osziriszt a Nílussal azonosítja, Isziszt pedig a Nílus áradásait befogadó termékeny földdel, ebben a konstellációban pedig Tüphón lesz a sós, ennélfogva haszontalan, sőt mérgező tenger, amelybe a Nílus is belefolyik, ebbe magyarázatba belefoglalja például Héliosz és Szeléné kocsiját, amelyet egyesek épp ebben az értelmezési keretben inkább hajónak fognak fel, valamint megemlékezik a phallosz-ünnepről, ugyanis a monda szerint Tüphón Oszirisz szeméremtestét a folyóba dobta, amit bizonyos halak elfogyasztottak, ezeket azóta is gyűlölik az egyiptomiak, és Iszisz pedig ennek emlékére egy hatalmas phallosz-szobrot készíttetett, nem függetlenül Oszirisz nedves-folyós megtermékenyítő magjától.
A 41-45. fejezet egy kozmikus magyarázatot ad, eszerint Oszirisz a Hold, ami szintén nedve és termékeny, Tüphón pedig a száraz, perzselő Nap, ami mindenek pusztulását hordozza, itt a holdciklusok egyes fázisait azonosítja a mítosz kronológiájával, valamint számmisztikát és további égi jelenségeket, mint a holdfogyatkozást említi. Azonban ennek a leírásával valójában csak arra teremt alapot, hogy cáfolatát nyújtsa a kozmikus magyarázatnak (46-49. fejezet) ugyanis Tüphón rossz természete nem lehet azonos a Napnak, mint fénynek, mint a természet éltetőjének szerepével. Ezen a ponton sorolja példaként a zoroasztrizmust, Mithras tanítását, valamint a khaldeus, püthagoreus és platonikus tanokat, amelyek mind valamilyen dualisztikus elképzelést tartanak fenn a világról.
Az 50. fejezettől kezdve elő-előbukkan az állatkultusz, amelyet elutasít a szerző, a 56. fejezetben pedig már bizonyos arányszámokkal dolgozó csodaszép háromszögekről ír, amivel a mindenség természete leírható. A 61. fejezetben már onomasztikai magyarázat következik egy kis etimológiával fűszerezve az istenek nevét, illetve jelzőit illetően, a 63. fejezet pedig a szisztrumról, mint a vallás egyik fontos kellékéről számol be, annak szimbolikus jelentéséről és funkciójáról. A 69-71. fejezet egy érdekes megfeleltetést alkalmaz Oszirisz és a természet között, egyfajta gyászként írja le a természeti ciklusok változását, egyrészt az istenhez könyörögnek a termésért, ám amikor megérkezik, azt felélik, elpusztítják, majd az elmúlt termést gyászolják és ismét a következőért imádkoznak, ebből fakadóan vitatja, hogy Osziriszt a gabonával lehetne azonosítani és vegetációs istenként lehetne tisztelni. A 74. fejezet ismét az állatkultusszal foglalkozik, igyekszik valamiféle magyarázatot adni az állatok népszerűségének szerepére, miközben teljesen a kultuszon kívólinek tartja őket. A 79-80. fejezet ismét a szertartás kellékeiről, valamint a mindennapokban is használt füstölőkről, gyógynövényekről, illatszerekről számol be.
Leggere il De Iside et Osiride si è rivelato più arduo del previsto, ma è innegabile che quello che abbiamo davanti è un testo che combina in maniera ben calibrata principi di filosofia, storia e religione. Il trattato plutarcheo dedicato a Clea, sacerdotessa dell'Oracolo di Delfi, diventa fruibile testimonianza del culto e degli usi e costumi propri della tradizione sacra egiziana; mostra come siano presenti molti parallelismi e punti in comune tra mitologia egizia e greca attraverso un ampio repertorio di vocaboli egizi che, secondo Plutarco, hanno origine proprio da termini derivanti della lingua greca. Plutarco sfrutta le sue conoscenze e riesce ad associare caratteristiche di Iside, Osiride e Tifone ad aspetti del Πάνθεον (Pantheon) tipicamente greco. Un saggio non di immediata comprensione né dallo stile scorrevole, ma davvero interessante per il suo contenuto. Voto complessivo: Tre e mezzo su Cinque.
Honestly, I have expected way more from this book. Plutarch has ended up in interpreting Egyptian believes and particular Osiris and Isis as forces of nature, some kind of weather patterns. I really don't know from where he has gotten confidence to write on this topic, and after reading this book I don't have any desire to know it. He attempts to bring roots of the Egyptian religion down to simplistic, basic things as human's fears in front of nature's power. I think Egyptians of his time would strongly disagree with him. I gave 3 stars just out of respect to ancient philosophers.
in general, cand adaug carti pe goodreads, nu ma straduiesc sa caut o editie in mod particular - daca se intampla sa gasesc mai intai in engleza o carte pe care am citit-o, de fapt, in romana, nu schimb editia inainte de a ii face o recenzie, deoarece oricum ma concentrez in mod special asupra continutului de obicei.
aceasta carte este exceptia.
este de asemenea prima carte a carui calificativ il acord strict in functie de traducere.
am gasit "despre isis si osiris" din intamplare, la carturesti. cum nu parea sa existe nici o alta editie, am decis sa o iau pe aceasta, desi formatarea lasa mult de dorit. o cautare ulterioara mi-a dezvaluit oricum ca este cam singura care se gaseste, sau in orice caz prima care apare in urma cautarii pe google, vanduta de mai multe librarii cunoscute - lucru destul de dezamagitor, intrucat continutul s-a dovedit a fi mult mai prost decat coperta.
primul lucru care mi-a sarit in ochi a fost introducerea. limbajul oarecum simplist, aproape nepotrivit cu subiectul pentru care este folosit, transforma biografia lui plutarh intr-o compunere de a 7-a, in care sunt compilate pur si simplu mai multe informatii preluate de pe google. al doilea a fost traducerea lucrarii in sine. nu cred ca la plutarh se pune problema unui "dumnezeu" in sensul in care il intelgem astazi. intr-o carte in care notele de subsol sunt din abundenta (am putea spune chiar ca se abuzeaza de ele), lipsa unei note pentru sublinierea acestei diferente este putin nefericita. ca sa nu mai vorbim ca oricum, unde apar, notele de subsol par mai degraba paragrafe extrase direct de pe wikipedia - informatii care ar putea fi sintetizate in cateva randuri (de exemplu datele privitoare la diferiti filosofi, regi, etc., dar si la diferite orase si repere geografice) devin blocuri de text. mai mult, se pot intalni in mai multe cazuri fraze lipsite de sens - preferata mea este "[Pitagora] a avut o mare admiratie pentru acesti preoti care, la randul lor, admirau; [...]". admirau pe cine? sau "ma tem ca, admitand aceasta explicatie, nu sunt depasite marginile bunei cuviinte, ca nu in felul acesta se declara razboi, nu numai intregii antichitati - [...] - si nici unor numeroase familii sau neamuri [...]".
traducerea este realizata, conform cartii, de o oarecare maria genescu. pe internet nu par sa existe nici un fel de date despre dansa, in afara de lucrarile pe care se presupune ca le-a tradus, si acestea doar pe site-uri de unde sunt comercializate. imi este greu de spus in acest punct daca traducerea prezenta a fost realizata de un om adevarat sau pur si simplu de un program.
in fine, pentru cei care vor sa citeasca aceasta carte recomand fie achizitionarea unei editii cu alta traducere (daca aceasta exista), fie cautarea ei in alta limba.
To me it felt that Plutarch tried to explain Isis and Osiris through certain concepts from the Ancient Greek philosophy, but he kept reverting back and forth to the same points, ultimately leaving the reader in an impasse. I'm certain this work has an enormous value as a historical script; however, to an ordinary reader wishing to expand their literary curiosity Plutarch might be a bit too much.
Un libro fascinante y muy valioso, si es que te interesa conocer y entender las creencias religiosas del antiguo Egipto y las de los hombres en todas las épocas. Mas fascinante aun por lo que puedes descubrir al comparar tu propia creencia religiosa, si es que la tienes, con la de los antiguos egipcios.
Sempre parte del periodo spocchiosetto delle superiori. Però alla fine qualcosa di utile deve avermelo insegnato. Tipo sta cosa che se ti spezzatano e spargono i tuoi brandelli in un fiume, se la persona che ti ama ci tiene poi viene a prenderti e puoi rinascere. Mmmh ripensandoci meglio non avere aspettative così alte sugli altri e non farsi spezzettare
Plutarco fa mansplaining a Clea riguardo a cose che per lo stesso Plutarco “chi potrebbe saperle meglio di te, Clea?”. Segue poi roast alle teorie di Eudosso, le immancabili considerazioni su come il Platone che scrisse la Repubblica era molto diverso da quello che poi scrisse le leggi e, tra una cosa e l’altra, anche qualche cosa di interessante sul mito di Osiride e Iside.
De Plutarco siempre tuve presente "Vidas paralelas", por ignorancia no había reparado en la existencia de este texto.... texto que deviene en pliegue entre la religión egipcia y griega, y explica también elementos, muchos elementos, de ritos y concepciones actuales....aquí está la cuna.
I've read this book in order to gather information for my next book, but I've also found it's very interesting and deep; Plutarch's way of giving rationaland/or philosophical explanations to Egyptian myths is very modern and gives a whole new dimension to the beautiful story of these two gods. Although it may be boring at times,on the whole a fascinating book.
I need to read it again, and then maybe again after that. It is written almost as if he were relating dreams he had or talking while under the influence. It feels like if you read it "the right way", you might discover some hidden meaning, which makes it feel somewhat magical.