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Un(e) Secte

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Et si tous les insectes du monde se mettaient soudainement à communiquer entre eux ? À s’organiser ? Nous ne survivrions pas plus de quelques jours.
Entre un crime spectaculaire et la disparition inexpliquée d’une jeune femme, les chemins du détective Atticus Gore et de la privée Kat Kordell vont s’entremêler. Et les confronter à une vérité effrayante.
Des montagnes de Los Angeles aux bas-fonds de New York, un thriller implacable et documenté qui va vous démanger.

552 pages, Mass Market Paperback

First published November 1, 2019

52 people are currently reading
656 people want to read

About the author

Maxime Chattam

65 books994 followers
Enfant discret, Maxime Chattam grandit en région parisienne. Il n'est pas particulièrement brillant à l'école mais se passionne pour le cinéma. A quatorze ans, après avoir regardé le film 'Stand by Me', il se met à le réécrire en rajoutant des péripéties. Il découvre le livre 'Le Seigneur des anneaux' et les romans de science-fiction de Stephen King notamment. Il suit le cours Simon, devient figurant dans un spectacle de Robert Hossein, et joue dans plusieurs téléfilms. Son premier livre, plein d'humour, s'intitule 'Le Coma des mortels'. Il fait plusieurs petits boulots et reprend ses études de lettres modernes à la fac. Pour se faire connaître du milieu du livre, il entre à la FNAC, mais n'a toujours pas envoyé de manuscrit aux maisons d'édition. Il suit une formation de criminologie pendant un an où il étudie la psychiatrie criminelle, la police technique et scientifique et la médecine légale. Il assiste même à des autopsies et rencontre des spécialistes pour préparer son roman. Toujours libraire, il consacre ses week-ends à son projet de thriller. Il rédige 'L' Ame du mal' en 2001 et l'envoie à trois maisons d'édition. Un soir, Michel Lafon le contacte et lui propose de signer un contrat. 'In Tenebris' sort en mars 2003 alors qu'il est déjà en train d'écrire 'Maléfices'. Cette même année, il achève le troisième opus de la trilogie 'Maléfices'. Il publie en 2005 'Le Sang du temps'. En tout, Maxime Chattam signe cinq romans et parvient à réaliser son rêve d'enfant.

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Community Reviews

5 stars
275 (20%)
4 stars
583 (44%)
3 stars
359 (27%)
2 stars
77 (5%)
1 star
24 (1%)
Displaying 1 - 30 of 125 reviews
Profile Image for Aude Bouquine Lagandre.
691 reviews203 followers
November 6, 2019
À Los Angeles, la découverte d’un corps débarrassé de toute chair et la présence massive d’insectes de toute sorte sur les lieux plongent les forces de police, dont Atticus Gore dans un abîme de perplexité. « Des escouades qui auraient dû débarquer les unes après les autres sur un cadavre, car elles n’étaient pas censées intervenir au même moment dans le processus de dégradation des corps, souvent séparées par des temps très longs, se réunissaient au même endroit, concentrées les unes sur les autres au point de presque fusionner lorsqu’elles avaient été tuées. (…) C’était bien l’homme qui était intervenu pour les répandre ici… » À New York, c’est la disparition inquiétante d’une jeune femme de 22 ans qui occupe la détective privé Kate Kordell. Insecte, secte ? Ces deux affaires sont-elles liées ? Comment ? Pourquoi ?

Je vous le dis de suite : ce dernier opus de Maxime Chattam est excellent, un très bon cru, un retour aux sources pour l’auteur qui m’a attirée vers le noir avec « L’âme du mal ». Si je n’ai pas toujours eu de coup de cœur pour ses derniers livres, j’ai toutefois apprécié qu’il se mette en danger en proposant des romans très différents de ce qu’il avait l’habitude d’écrire, et prenne des virages intéressants et encore inexploités. C’est le cas par exemple dans « Que ta volonté soit faite », récit plus introspectif, mais pas dénué d’intérêt. Bref, je préfère un auteur qui se mette un poil en danger, qu’un auteur qui ne tente rien !

Dans « Un(e)secte », Maxime Chattam terrorise un large public en utilisant pour trame de fond une arrivée massive d’insectes. «  Savez-vous que pour chaque être humain présent sur la Terre, il y a près d’un milliard et demi d’insectes ? Vous imaginez un peu le ratio ? » Nous avons tous nos phobies, la peur d’au moins une espèce fait partie de nos phobies ordinaires. C’est bien joué. Ça fonctionne à merveille. Je défie quiconque après la lecture du bouquin à ne pas penser à fermer la bouche en allant dormir ! Si comme moi, vous êtes entomophobe, vous allez être servi : coléoptères, histéridés, chélicères arachnides, scolopendres, abeilles tueuses, fourmis légionnaires… Vous pourrez choisir votre bébête préférée ! Ces petites bestioles, dont certaines bien répugnantes posent le récit et la première enquête. Une autre, a priori plus légère, simple disparition d’une jeune femme qui semblait avoir un passif, disons tumultueux, démarre à New York. Si, de prime abord, le lecteur semble bien plus captivé par ces squelettes lisses, l’intérêt est tout à fait similaire pour la disparition. L’alternance des lieux, des recherches, des personnages est passionnante, très bien amenée, équilibrée, donc parfaitement réussie.

Expatriée 6 ans aux États-Unis, j’ai eu le temps de visiter 43 états, dont toutes les grandes villes américaines. Je suis allée plusieurs fois à New York, mais j’ai vécu 4 ans en Californie, dont une année à Los Angeles. « Los Angeles ne pouvait se concevoir qu’en voiture. Tentaculaire, elle se déploie sans fin, des montagnes au désert puis jusqu’à l’océan, et le moindre trajet se comptait en kilomètres. » J’étais évidemment très curieuse de savoir comment Maxime Chattam allait retranscrire mes propres sensations sur cette ville. Je dois avouer que c’est un carton plein : je m’y suis revue, et cela à de nombreuses reprises. Il a su capter la quintessence de cette ville tentaculaire, l’atmosphère des différents quartiers, les spécificités de cette ville bercée par des couchers de soleil de toute beauté, où le soleil rouge s’écrase dans l’océan, le parfum des fleurs, dont celui des hibiscus omniprésent, l’atmosphère de certains quartiers tels que Silver Lake ou Skid Row où une pauvreté crasse frôle une richesse presque nauséabonde. « La société ne pouvait effacer ceux qui ne suivaient plus, alors elle les parquait loin des quartiers résidentiels et regardait ailleurs. Elle laissait s’autodétruire ses plus faibles éléments dans l’indifférence. Personne n’a à se salir les mains, le temps fait le job » Bienvenu en Amérique !

À mon sens, un gros travail a été effectué par l’auteur sur la profondeur de ses personnages principaux dont Atticus Gore, son flic angelin, prototype du mâle californien : la quarantaine, obsédé par le vieillissement du corps qui fréquente salle de sport, spa, instituts de beauté et massage, manucure. Il roule dans une mini Cooper cabriolet bleue à bande noire et écoute du métal. Spécificité ? Atticus est homosexuel… sa crédibilité est donc rudement mise à mal dans un secteur d’activité où une testostérone massive fait rage. Autour de ce personnage, raillé par ses pairs, Maxime Chattam fait d’un « anti-héros » potentiel, un modèle d’une société en mouvance où les lignes d’une pseudo norme bougent, et ça fait un bien fou !

Ce roman est aussi une ode à la musique métal « Il se laissa entraîner brièvement dans ce tunnel d’émotions noires, puissantes, viscérales. Il aimait cette musique pour ça aussi, sa capacité à faire remonter ce qu’il avait de plus nostalgique, de plus fragile, une émotion primaire dont il ne captait pas bien le sens lui-même, un lien entre la cruauté de la vie et l’implacable terreur de la mort. » Pour rédiger cette chronique, j’ai écouté tous les morceaux dont l’auteur fait mention ! (si ce n’est pas de l’implication personnelle ça !!!,sachant que ce genre de musique n’est franchement pas ma came…) Iced Earth, Clandestine, Megadeth, Craddle of fire, Machine Head, Metallica, Sepultura, Faith No More, Obituary: ils y sont tous passés ! Cela donne au roman une ambiance particulière sous le lourd soleil californien. « Son amour adolescent immodéré pour cette musique puissante, sombre, parfois agressive ou mélancolique, n’avait pas cessé d’interroger l’adulte qu’il était devenu, car cette passion ne s’était pas ventilée à mesure que sa personnalité s’affirmait. Au contraire, il en savourait désormais les subtilités, la technique, la profondeur. » Si vous aimez la musique métal, ce livre est pour vous !

Comme beaucoup d’auteurs actuels du noir, Maxime Chattam s’interroge sur le futur de l’homme. Le dernier quart du livre en est une belle démonstration. Vous y trouverez de belles idées, de sombres pensées que je ne peux dévoiler ici sans divulgâcher le cœur du roman. Je ne donne pas cher de notre peau….

En résumé, que vous soyez lecteur de la première heure ou que vous ayez découvert l’auteur sur le tard, ne boudez pas votre plaisir : « Un(e)secte » est un excellent roman qui réveille nos petites phobies, mais pas seulement …
Profile Image for Andra Petrucianu.
187 reviews24 followers
May 26, 2021
Je l'ai terminé cette nuit et sincèrement, je n'ai aucune idée pourquoi j'ai attendu SI longtemps avec de le lire, ce roman a tout !!

Deux intrigues parallèles, des personnages plus que attachants (Atticus Gore est devenu un de mes personnages préférés), de l'action et des descriptions plus dégueulasse les une que les autres.

Ce roman fantastique est venu jouer avec ma tête, je voyais des insectes partout (j'ai vraiment une phobie, c'en est ridicule 😅), mais effectivement, soyez patient, parce qu'il en vaut TELLEMENT la peine, il est monté dans le top.
La fin, my god, la fin est quelque chose !!

Je le recommande vraiment 👌❤️
Profile Image for Muffinsandbooks.
1,656 reviews1,244 followers
November 6, 2019
Je ne suis pas une adepte des thrillers mais j’ai voulu tester celui la. J’ai trouvé que c’était angoissant par moment, bien construit, haletant et original ! J’ai bien aimé mais, je ne serais jamais une adepte des thrillers 😂
Profile Image for Marie-Eve Anctil.
304 reviews46 followers
October 6, 2024
Un livre qui m’a bien divertis malgré le prologue à glacer le sang. Bref…ce sera pas mon dernier Maxime Chattam que je vais lire
Profile Image for Carlo Hublet.
713 reviews7 followers
February 21, 2022
Les précédents romans de Maxime Chattam m'ont rendu exigeant. Je suis un peu déçu par celui-ci, en ayant quand même pris plaisir à cette lecture.
Les deux personnages complexes et (relativement) solitaires sont fort attachants: Atticus et (plus classique) Kat. Un sur la côte ouest, l'autre à l'est. Parallèles. Vont-ils se croiser?
Le ton trop moralisateur m'a souvent agacé, trop de beaux sentiments purs dans ce monde bordellique, matérialiste et égoïste.
Par contre, les lieux, les descriptions, superbes, surtout New-York, sa faune humaine grouillante et inquiétante.
Je lirai bien sûr d'autres romans de Chattam.
Profile Image for Clarabel.
3,755 reviews59 followers
September 30, 2020
Au fond je suis un peu déçue car j'avais gardé un excellent souvenir de ma lecture (Le Signal) l'an dernier et j'imaginais perdre à nouveau tous mes repères et flipper comme une malade en écoutant cette histoire.
Malheureusement j'ai lu l'ensemble plus ou moins distraitement. Non pas que j'ai trouvé ça mauvais mais je n'ai juste pas été transportée. Pourtant ça démarre plutôt fort avec un prologue qui file une bonne chair de poule (des petites bébêtes viennent se repaître des grosses bêtes). Berk. On rencontre ensuite un inspecteur de police qui flaire le sordide de l'enquête et sera bientôt rejoint par une détective privée engagée à retrouver la fille d'une cliente.
Leurs deux affaires sont liées mais entrent en collision tardivement. De toute façon les deux personnages ne sont pas très inspirants. Atticus et Kat ont en commun d'être émotionnellement éteints et brisés par leurs parcours de vie. On a fait plus glamour mais ce n'est pas un problème non plus. Après tout, on veut du sang, des larmes, de la sueur dans ce livre ! Ainsi donc leurs enquêtes respectives progressent et ménagent peu de suspense.
Le résultat manque clairement de surprise : scénario maîtrisé, dénonciation des dérives de notre société, écriture passionnante et personnages clichés. Ça sent le roman convenu et longuet. De plus, je n'ai ni frémi ni hurlé de dégoût au fil des chapitres. Et c'est bien dommage !
Ceci dit, je ne regrette pas ma lecture même si elle n'a pas comblé mes folles espérances. Palsambleu ! JE VEUX MA DOSE DE SENSATIONS FORTES.
Profile Image for Manon Vincent.
37 reviews
April 13, 2025
j'ai vraiment apprécié cette lecture malgré une thématique qui ne me plaît guère. Les descriptions sont, comme toujours pour moi, dur à supporter mais les personnages sont très attachants. Du grand Chattam !
Profile Image for Kassie.
512 reviews14 followers
November 20, 2019
Je n'aurais jamais cru voir venir le jour où je ne mettrais que 4 étoiles à un livre de Maxime Chattam... Triste jour que celui-ci... Malheureusement, autant ai-je apprécié ma lecture, je n'ai pas été aspirée dedans comme j'en ai l'habitude et j'ai eu un peu de mal avec les personnages principaux... En tout cas, ce roman ne manque pas d'originalité et il reste un bon thriller.
6,937 reviews81 followers
May 9, 2021
Ce livre sera mon dernier de maxime Chattam, du moins pour plusieurs années. Dire qu’il y a quelques années à peine je le considérais comme un de mes auteurs préférés et maintenant… Peut-être est-ce moi qui aie changé en tant que lecteur, mais je crois sincèrement que Maxime Chattam n’est plus l’ombre de lui-même.

Ce livre est ridicule! L’intrigue est peu mise de l’avant, les personnages sont stéréotypés à l’extrême, et même les tentatives pour les rendre originaux, sont elles-mêmes des clichés, ce qui rend le tout risible. Les lieux sont eux-mêmes des stéréotypes, déjà un Français qui situe son roman aux États-Unis… mais en plus les deux villes choisies sont NY et LA… Des descriptions physiques à n’en plus finir, je me contre-fiche pas mal de la grosseur des lèvres du protagoniste, des dialogues longs et plats, le rythme n’est pas trop mal, mais on est loin du page-turner. Ce n’est pas un livre de Chattam, c’est un Guillaume Musso qui traverse une passe sombre.

La fin ne mène à rien et au final toute l’intrigue donne une impression de bofff, beaucoup trop longue pour en arriver là et la prémisse des insectes est un faible filigrane de fond. Les derniers livres de cet auteur ne sont qu’une longue et triste série de déception, entre la pathétique copie (voir ma critique de Le signal) et un manque d’originalité et de consistance majeure ici, sans parler de la série Autre-Monde, je ne vois plus ce que je peux y trouver. Bien déçu!
29 reviews
January 7, 2020
Enfin un roman de Maxime Chatham ou je ne suis pas déçue de l’explication de l’intrigue. En dépit d’une fin convenue, l’histoire est intéressante, structurée et rythmée. Elle exploite nos phobies les plus basiques pour donner vie à un scénario terrifiant, basé sur du concret. Si nous avons déjà peur d’une seule bestiole près de soi, imaginez-en des millions et plus sur soi. Sans compter quelques remises en question et/ou pistes de réflexion sur le temps qui passe, la société actuelle et l’environnement sans être de la propagande. Beaucoup de travail de recherche de l’auteur sur son intrigue bien sûr, mais également sur les lieux et les personnages. Un roman excellent et original.
367 reviews3 followers
January 5, 2020
Après avoir été déçue par Le Signal, j'ai bien apprécié le dernier Chattam. Derrière la dénonciation des GAFA et de notre monde consumériste, le moyen d'action choisi pour lutter, avec beaucoup d'excès et de perversité, est l'utilisation des insectes. Quelques moments glaçants très réussis, une trame de fond avec un peu de réflexion et beaucoup d'action. J'ai beaucoup aimé.
Profile Image for Quoilire.
501 reviews7 followers
February 19, 2020
Je suis assez mitigé après lu le dernier opus du maître du thriller français. S'il n'y a rien à redire sur le rythme du livre structuré en page-turner, ce qui n'est guère surprenant venant de Maxime Chattam; ou des personnages bien marqués, identifiables, forts, complexes avec plusieurs niveaux de sensibilité, pour l'intrigue et le mystère qui se cache derrière, on ne peut pas en dire autant.

Le plus gros reproche que l'on puisse faire sur Un(e)secte est que dès la première page avec son titre, Maxime Chattam dévoile la solution de l'intrigue. Aussi les aficionados de thrillers, il ne reste plus guère qu'à deviner la méthodologie du meurtre pour se contenter, ce qu'ils feront sans grand mal s'ils sont aussi adaptes de technologies ou de science-fiction.

Ni fantastique, ni thriller, ce roman est en demi-teinte où Maxime Chattam est bien loin de celui qui nous avait séduit avec Sa trilogie du mal.

A croire que les insectes sont au final les petits bugs qui viennent enrailler les rouages de la littérature policière, car c'est le deuxième roman mêlant les petites bêtes qui ne nous charme pas après les mouches de La Chorale du diable de Martin Michaud.
https://quoilire.wordpress.com/2020/0...
Profile Image for Booksofswarley.
153 reviews1 follower
November 14, 2022
4.5/5 ⭐️
Mon premier Chattam, j'ai adoré du début à la fin. Et j'espère suivre une autre enquête d'Atticus Gore un jour ou l'autre. Le rythme est très bon, je n'ai pas vu les chapitres passer. J'ai trouvé le découpage de l'histoire intéressant, mêlant enquête, thriller, trash (quelques scènes seulement). Les deux personnages principaux m'ont plu. Tout est bon !
4 reviews
April 9, 2023
Pour une fois un roman de Maxime Chattam qui est lisible.
Toujours beaucoup de descriptions qui ralentissent considérablement la progression de l intrigue, mais le fond est pas trop mal
Dommage que la fin est si abrupte et expédiée en quelques pages. Si il avait moins traîné durant le cours du roman, peut être qu il aurait encore un peu de force pour boucler la fin de façon un peu plus correcte ..
Profile Image for Marilena Rizou.
73 reviews
February 3, 2020
Δεν με ενθουσιάζουν τα θρίλλερ, αλλά αυτό ήταν πολύ καλογραμμένο. Είχε σωστό ρυθμό, χαρακτήρες που σε τραβάνε (και χάρηκα πολύ που λέει ο Σατάμ στο τέλος ότι ο Άττικους θα επιστρέψει!) Είναι εκπληκτικό που τα έντομα μπορεί να είναι ταυτόχρονα τρομαχτικά και απαραίτητα για τον πλανήτη.
Profile Image for Cécile.
26 reviews
November 18, 2022
Des personnages attachants, une enquête bien ficelée mais quelques passages un peu longs.
Profile Image for Berg Amira.
83 reviews6 followers
May 29, 2020
Un thriller digne d'un Maxime Chattam, du suspens du début à la fin, on est assoiffé de connaitre la suite des chapitres, une vision apocalyptique de notre monde.
Profile Image for Justine L-mvc.
275 reviews4 followers
June 27, 2020
Alors... la sueur froide a rapidement coulé dans mon dos quand les insectes ont fait leur apparition mais c’est tout. Je n’ai pas été embarquée plus que cela par l’histoire et je n’ai pas réussi à m’attacher à 100% à ses personnages. Toutefois, le concept de l’histoire était très intéressant. Et puis, le mélange « secte » et « insecte » m’a bien plu mais voilà.. c’était une bonne lecture mais sans plus.
Profile Image for Alice.
1,625 reviews27 followers
May 11, 2021
Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Un(e)Secte ?
"Toujours pas réconciliée avec la plume de Maxime Chattam qui figurait pourtant parmi mes auteurs favoris il y a encore quelques années, je suis un peu frileuse à l'idée d'acheter un de ses derniers romans mais celui-ci m'a été recommandé et prêté par une amie."

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Un corps est retrouvé à Los Angeles. Enfin, un corps... Il ne reste presque plus rien du défunt, les insectes ont tout dévoré. Pourtant, l'homme n'a disparu que la vieille au soir, c'est donc scientifiquement impossible... À moins que..."

Mais que s'est-il exactement passé entre vous ?
"En lisant les premiers chapitres, je suis plutôt rassurée. Si les crimes ne sont pas ragoûtants, on ne tombe pas dans le gore sans raison, l'intrigue n'a pas l'air de se diriger vers le surnaturel (même si c'est un peu énorme), bref, tout cela ressemble à un bon vieux thriller comme Maxime Chattam savait très bien les faire dès ses débuts. Malheureusement, arrivée à la moitié de ma lecture, j'ai toujours du mal à me plonger vraiment dedans, rien ne retient particulièrement mon attention. Je pourrais le laisser de côté sans regret. Les personnages sont assez peu originaux et les deux enquêteurs ont d'ailleurs le même profil psychologique. Cette fois-ci, c'est presque trop lisse malgré le fait que l'on se dirige, une fois encore ai-je envie de dire, vers le complot de grande ampleur. Je crois que je préfère définitivement les thrillers plus classiques."

Et comment cela s'est-il fini ?
"Les cinquante dernières pages sont sûrement les seules à avoir éveillées un peu d'intérêt en moi, c'est enfin rythmé et la révélation est interessante bien que peu originale mais ça ne sauve pas l'ensemble. Je crois que mes goûts et le style de l'auteur ont évolué et ont pris des chemins différents."

http://booksaremywonderland.hautetfor...
Profile Image for La Bibliothèque de Juju.
55 reviews19 followers
November 12, 2019
Pour Halloween, je vais vous parler de ma dernière lecture en date. Le nouveau Chattam !

(Deux secondes, c’est une mouche que j’entends voler là ?)

Le prologue. En très peu de pages, Monsieur Chattam a réussi à me filer la chair de poule et m’a même obligé à faire une pause dans ma lecture afin de faire une inspection complète de mon appartement, à la recherche du moindre insecte…

(C’est un mille pattes que je vois là sur le rebord de la fenêtre, non ?)



J’aime me faire peur. Et bien, pour le coup, ça a plutôt bien fonctionné !

Ici, c’est la petite bêbête qui monte, qui monte, en même temps que la tension du lecteur qui doit bien s’accrocher à son livre pour ne pas partir en courant, sans demander son reste !



Il ne faut pas trop en dire de cette histoire qui fait mouche ! Juste vous dire que j’ai aimé les personnages, Atticus Core, ce flic homosexuel au caractère bien trempé, et Kat Kordell, détective privée, maligne et impertinente ! Un duo auquel on s’attache et qu’o nne peut pas lâcher comme ça !

J’ai plongé avec eux dans une sombre affaire de meurtre et de disparition, entre New York et Los Angeles. Deux héros, deux enquêtes, deux raisons de flipper encore ! Sectes et insectes se marient à merveille dans ce cocktail carrément effrayant !

(C’est une fourmi, là, sur le carrelage ??)



Maxime Chattam n’a pas son pareil pour instiller peu à peu l’effroi chez son lecteur. Ici, il propose un roman solide et efficace, de facture plutôt classique dans le genre, mais qui fonctionne à merveille ! On est littéralement happé par un récit et des personnages complétement à la hauteur !

(C’est moi où c’est une armée de cafards qui vient de tomber du plafond ?)

Résultat des courses, je n’étais pas particulièrement phobique des petites choses qui grouillent partout sous nos pas et dans nos maisons. Je le suis dorénavant.



Je ne vous remercie pas, Maxime Chattam.
Profile Image for ValérieW.
357 reviews10 followers
November 5, 2019
Le cru Chattam 2019 est arrivé. Moins flippant que "le Signal", ce roman qui joue sur la peur et le dégoût universels des bestioles grouillantes, rampantes et galopantes vous fera malgré tout se dresser les petits cheveux de votre nuque.... Le prologue donne bien le ton de ce qui vous attend. C'est simple, j'avais déjà une furieuse envie de me gratter après les 5 premières pages!
Et plus d'une fois je me suis surprise à stopper ma lecture pour vérifier autour de moi qu'aucun insecte ne s'approchait. Plus d'une nuit je suis allée me coucher en vérifiant dans mes draps qu'aucune araignée ne m'y attendait....!



Mais Un(e)secte c'est aussi deux enquêtes menées parallèlement qui tiennent en haleine. Quel peut être le point commun entre une disparition à NY et un horrible meurtre à LA? Connaître ce lien vous tiendra accroché de longues heures. Tout comme Kat et Atticus, les deux personnages charismatiques de ce roman. Pas des super héros dopés aux stéroïdes, juste deux personnes avec leurs failles, leurs blessures et leurs idéaux. J'ai d'ailleurs été ravie d'apprendre à la fin du roman que Maxime Chattam prévoyait d'écrire au moins encore un livre avec le personnage d'Atticus Gore.

Je suis cependant un chouïa déçue par la chute qui, il me semble, devient un thème récurrent des les thrillers et qui sent un peu le déjà-vu. A part ce petit bémol, ce nouveau Chattam est plutôt réussi!
Profile Image for Marwa Reading Passion.
261 reviews48 followers
November 19, 2019
"Savez-vous que pour chaque être humain présent sur la Terre, il y a près d'un milliard et demi d'insectes? Vous imaginez un peu le ratio?"

Imaginez si les insectes annoncent la guerre contre les êtres humains ? Que va-t-il se passer ? Un cauchemar ! Un apocalypse au vrai sens du terme... Voici l'histoire de ce thriller..

Un cadavre débarrassé (juste une chair et des os) trouvé au milieu d'un zoo à Los Angeles avec des amas d'insectes écrasés. À New York, une jeune fille disparaît sans laisser aucune traces sauf un œuvre démoniaque dans sa chambre à coucher ! Il existe un lien entre ces deux événements.

C'est ma première rencontre avec Chattam et certainement elle ne sera pas la dernière. Son style fait en sorte que vous vivez cette aventure avec les personnages. Un roman haletant et intense à couper le souffle. Je suis atteinte d'une entomophobie 😭😀
Profile Image for Leo Labs.
395 reviews43 followers
December 7, 2019
Malgré une effrayante introduction qui annonçait du lourd, je n'ai pas été emballé plus que ça par ce Chattam. Ce n'est pas mauvais, mais ce n'est pas très bon non plus. Les protagonistes ont beaucoup de potentiel et les revoir dans un prochain tome sera un plaisir. L'histoire en elle-même m'aura fait ressentir beaucoup d'ennui. C’était bien souvent plat. ce récit manquait de "peps" comme on dit.
Profile Image for Christine Van Heertum.
598 reviews17 followers
February 28, 2021
je ne sais pas quoi en penser. J'aime beaucoup le personnage d'Atticus, je l'ai trouvé beaucoup plus profond et attachant que celui de Kat. L'histoire, par contre, ne me laisse pas une impression très marquée ... J'ai trouvé que la part laissée aux insectes n'est pas suffisamment grande.
Profile Image for Angrom.
45 reviews1 follower
April 5, 2020
Thriller honnête, bien écrit et bien mené. Rien de très surprenant mais se lit sans déplaisir .
Profile Image for BasiliskBooks.
279 reviews10 followers
September 14, 2020
Avant-propos
J’ai lu ce livre en lecture commune (j’y reviendrais plus bas) et dans le cadre du #PumpkinAutumnChallenge de Guimause. J’avais inscrit ce livre pour la catégorie « Il fait un temps épouvantail ! » (mots-clés : Halloween, automne, Samain), menu « Automne : douceur de vivre ». J’ai un peu extrapolé pour faire entrer ce livre dans cette catégorie, car il ne correspond pas vraiment à la période … Mais je me suis dit que sur la couverture on voyait des insectes, araignées, et autres petites bestioles réjouissantes, donc ça passe. Puis il est question, à un moment de l’histoire, de magie noire et d’occultisme donc bon, ça va, non ? 😊
Seconde chose, ma note réelle est 4,5/5, étant donné qu’on ne peut toujours pas mettre de demie note avec Goodreads je me devais de le préciser.
FIN

Ce livre a été une révélation : j’ai ENFIN compris ce que mon cerveau essayait de me dire depuis longtemps. Maxime Chattam est en train de devenir l’un de mes auteurs favoris, à presque égalité avec le King lui-même. Comme vous le savez, j’ai adoré sa somptueuse saga « Autre-Monde », ainsi que les deux premiers tomes de « La Trilogie du Mal ». A chaque nouvelle lecture, j’apprécie un peu plus sa plume et sa façon de nous embarquer dans l’histoire. C’est tantôt rapide, tantôt doux, toujours addictif et surprenant.

Puis ce titre m’a intrigué. Pourquoi ce « e » entre parenthèses ? Quel rapport entre une secte et des insectes ? (bravo pour ce jeu de mots d’ailleurs !). On finit par le comprendre, au fil des pages qui se tournent et qui nous révèlent leurs plus noirs secrets.
Comme je le disais plus haut, j’ai lu ce livre en lecture commune. Je fais en fait partie d’un groupe de lecture, créé sur Instagram par @popiseenpages (n’hésitez pas à aller jeter un œil à sa page !) ; et nous avons donc une lecture commune par mois, à laquelle nous ne sommes pas forcément obligés de participer. Cela dépend de si le livre choisi vous plaît ou non, et je trouve le concept formidable. Et le nom de ce groupe est donc « les Livromaniacs ».
Et j’ai adoré lire ce livre avec eux ! On a pu partager de très bons moments sur cette lecture et surtout, on a pu se soutenir sur les passages un peu dégueu (heureusement, il y en a très peu mais Maxime Chattam adore les détails sordides).

L’histoire est très bien construite, avec deux intrigues principales qui n’ont a priori rien à voir mais qui finissent par se rejoindre. J’adore cette façon d’entremêler deux enquêtes totalement différentes et d’alterner les chapitres, ça attise la curiosité et donne envie de toujours lire pour savoir la suite.
Je me suis attachée au personnage d’Atticus Gore (d’ailleurs, si l’auteur veut écrire plus de livres avec ce personnage, je suis d’accord !). Pour une fois qu’on a un inspecteur de police comme lui dans un roman policier / thriller, ça fait du bien ! J’ai aussi adoré le fait qu’il écoute toujours du gros rock à fond dans sa voiture (et le fait qu’on ait toujours les titres & groupes, c’est cool pour ma playlist).
J’ai aussi apprécié le fait qu’on ne commence à comprendre le pourquoi du comment que vers les ¾ du livre, ça laisse la place à toutes les issues possibles et imaginables. La fin m’a un peu laissée sur ma faim, même si j’ai apprécié toutes les révélations finales.

Et je crois que tous ceux et celles avec qui j’ai fait cette lecture commune étaient d’accord pour dire que l’histoire était très addictive et prenante. On avait du mal à se contenter des chapitres du jour ! C’était une chouette expérience, que j’espère reconduire le plus vite possible. C’est génial de pouvoir échanger en même temps sur ce qu’on a lu, on s’aperçoit qu’on a tous des avis différents et un manière d’aborder et de ressentir les choses différentes.
Malgré tout, je mets quand même un petit « warning » à celles et ceux qui voudraient lire ce livre : si vous détestez les insectes, araignées et autres réjouissances, ne lisez pas ce livre. Il n’y a pas tellement de passages vraiment dégeus, mais ils sont intenses et même pour moi qui ait l’habitude, ça m’a fait froncer le nez de dégoût.

Je pense continuer mon chemin à travers les romans policiers de Maxime Chattam, car plus j’en lis, plus j’aime sa façon de raconter les histoires. On verra si ça se confirme (encore) au prochain !

Sur ce, à bientôt pour de nouvelles aventures livresques ! 😊
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813 reviews50 followers
July 22, 2020
J’ai découvert Maxime Chattam avec Le sang du temps, qu’une collègue m’avait prêté. À la suite de cette lecture, j’ai dévoré presque toute sa bibliographie et il est très vite devenu l’un de mes auteurs préférés en termes de thrillers. Malheureusement, depuis quelques années, je suis déçue par ses publications qui manquent cruellement d’intensité à mon goût et Un(e)secte ne fait pas exception à la règle. J’en suis la première affligée, notez bien. Décortiquons un peu tout ça…

Tout commence par un prologue assez dérangeant, surtout pour l’entomophobique que je suis ! Il nous donne un aperçu de ce qui nous attend, ou du moins il devrait car en réalité, on est loin du compte. Kat est détective privé à New York, elle enquête sur la disparition d’une jeune femme qu’elle soupçonne très vite d’être tombée sous influence. Atticus est flic à Los Angeles, il est en perte de vitesse lorsqu’il se voit confier une affaire atypique : un corps rongé par des insectes en l’espace de quelques heures à peine, ce qui est en principe totalement impossible. Vous vous en doutez, les deux cas finiront par converger, les deux héros par se rencontrer et par tomber… Non, pas d’histoire d’amour là-dedans, Dieu merci !

En revanche, l’intrigue est très classique et le sujet en lui-même ne suffit pas à remporter les suffrages. Maxime Chattam essaie de nous expliquer en postface que tout cela est plausible, voire probable car de nombreuses études sont en cours. Soit. Sauf qu’à aucun moment, il n’a réussi à convaincre tout à fait la peureuse des insectes que je suis. C’est quand même un comble, sachant que le terreau était sacrément fertile ! Je craignais ce livre, entre son titre, sa couverture et les retours que j’avais lus sur le prologue. J’ai repoussé sa lecture pendant des semaines et au final… Rien, ou pas grand chose.

Du côté des personnages, si Kat a su me toucher par ses contradictions, j’ai eu plus de mal avec Atticus qui m’a semblé manquer de naturel, comme un pantin qu’on aurait du mal à animer. Leur duo est plutôt sympathique, mais on n’a pas vraiment le temps d’en profiter. Le dénouement est trop rapide et sans réelle surprise, car on devine facilement où l’auteur veut nous emmener. Il soulève pourtant nombre de questions intéressantes sur les dérives de notre société, le problème de la surpopulation, la solitude et les laissés-pour-compte.

Au final, cette histoire avait un énorme potentiel, mais elle souffre à mon sens d’un gros problème de rythme. L’intrigue met un temps fou à se mettre en place pour s’achever en deux coups de cuillère à pot. En outre, j’attendais plus de Maxime Chattam, plus d’insectes, plus de peur, plus d’intensité. Ses romans me paraissent de plus en plus édulcorés, comme s’il essayait de plaire au plus grand nombre au mépris de son identité, celle qu’il affichait au moment de la Trilogie du Mal en tous cas. Et c’est bien dommage, car c’était cet auteur qui me plaisait !
406 reviews9 followers
June 29, 2020
Me voici réconciliée avec Maxime Chattam dont je m’étais éloignée depuis La Patience du Diable, un livre qui m’avait semblé assez racoleur, auquel je n’avais adhéré.

Un(e) Secte: le titre interpelle, le jeu de mots est éloquent et donne envie d’en savoir plus. Je me lance donc et traverse ce pavé à grande vitesse, très concentrée pour ne pas en rater une miette car l’intrigue est consistante… J’émerge de ces 450 pages, ébahie, posant un nouveau regard sur chaque insecte ailé, scolopendre, araignée et autres bestioles… Le récit, qui mêle policier et science-fiction, débute par un premier chapitre prometteur, une scène d’attaque par le « petit » peuple des insectes ( dont on compte tout de même en moyenne un milliard cinq cent millions d’individus pour un être humain…) très réussie. Il faudra toutefois être patient et atteindre la seconde moitié du livre avant de revivre une telle expérience horrifique… Le temps aux deux principaux protagonistes de mener chacun de leur côté et par alternance de chapitre, leurs enquêtes respectives… Dans un zoo abandonné de Los Angeles, le squelette d’un nommé Oscar Riotto est retrouvé dépourvu de ses chairs. La quarantaine, Atticus Gore, policier du LAPD dans une mauvaise phase, accepte malgré lui cette affaire qui n’est pas de son ressort, mais qui pourtant va le combler : ancien étudiant en entomologie, il retrouve sa passion première lorsque le médecin légiste lui assure que la victime a été dévorée en quelques heures par une multitude d’insectes… A New York, une détective privée, Kat Kordell est chargée de retrouver une jeune femme, Lena, disparue en laissant derrière elle un message énigmatique. Ces deux enquêtes finiront par s’entremêler lorsque sera mise en cause une firme multinationale, EneK, dont le dirigeant, Edin Kowalski aux bras tentaculaires, tente de convaincre Atticus Gore de lâcher l’affaire… Mais Gore, qui pourtant est un homme pétri de contradiction, ayant du mal à s’assumer, est « un flic au service des hommes et de la liberté« , intègre et déterminé, convaincu que l’heure est grave et que sa mission doit être menée jusqu’au bout.

Outre une psychologie des personnages principaux assez bien « disséquée » (deux êtres solitaires, en proie au doute, qui vont au-delà de leurs préjugés…), ce roman soulève quelques réflexions sur notre société : la surconsommation, le capitalisme, l’hégémonie des grandes firmes multinationales, le pouvoir et l’argent… C’est assez grandiloquent mais efficace et divertissant.
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