Balzac Quotes

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W.E.B. Du Bois
“I sit with Shakespeare and he winces not. Across the color-line I move arm in arm with Balzac and Dumas, where smiling men and welcoming women glide in gilded halls. From out the caves of the evening that swing between the strong-limbed earth and the tracery of the stars, I summon Aristotle and Aurelius... and they come all graciously with no scorn nor condescension. So, wed with Truth, I dwell above the Veil.”
W.E.B. Du Bois, The Souls of Black Folk

Honoré de Balzac
“Être aimé d'elle, ou mourir.”
Balzac

“. . . when a woman has a husband
And you've got none,
Why should she take advice from you?
Even if you can quote Balzac and Shakespeare
And all them other highfalutin' Greeks. ”
Meredith Willson

Bob Dylan
“Balzac was pretty funny. His philosophy is plain and simple, says basically that pure materialism is a recipe for madness. The only true knowledge for Balzac seems to be in superstition. Everything is subject to analysis. Horde your energy. That’s the secret of life. You can learn a lot from Mr. B. It’s funny to have him as a companion. He wears a monk’s robe and drinks endless cups of coffee. Too much sleep clogs up his mind. One of his teeth falls out, and he says, “What does this mean?” He questions everything. His clothes catch fire on a candle. He wonders if fire is a good sign. Balzac is hilarious.”
Bob Dylan, Chronicles, Volume One

Daniel Silva
“Behind every great fortune lies a great crime. —HONORÉ DE BALZAC”
Daniel Silva

Honoré de Balzac
“Le front n’est-il pas ce qui se trouve de plus prophétique en l’homme.”
Balzac (de) Honoré, LA MAISON DU CHAT QUI PELOTE
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Honoré de Balzac
“L’habitude de voir une figure y fait découvrir insensiblement les qualités de l’âme, et finit par en effacer les défauts.”
Balzac (de) Honoré, LA MAISON DU CHAT QUI PELOTE
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Honoré de Balzac
“Dieu donne les enfants.”
Balzac (de) Honoré, LA MAISON DU CHAT QUI PELOTE
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Honoré de Balzac
“Les humbles et modestes fleurs, écloses dans les vallées, meurent peut-être quand elles sont transplantées trop près des cieux, aux régions où se forment les orages, où le soleil est brûlant.”
Balzac (de) Honoré, LA MAISON DU CHAT QUI PELOTE
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Honoré de Balzac
“Il ne fallait pas que l’un des deux époux en sût plus que l’autre; un mari qui parlait grec et la femme latin risquaient de mourir de faim.”
Balzac (de) Honoré, LA MAISON DU CHAT QUI PELOTE
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Honoré de Balzac
“… sans que le moindre nuage vînt altérer l’azur du ciel sous lequel ils vivaient.”
Balzac (de) Honoré, LA MAISON DU CHAT QUI PELOTE
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Honoré de Balzac
“Les Scènes de la vie privée devaient proposer des leçons aux mères mauvaises éducatrices et aux filles dangereusement inexpérimentées.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“... le pire de tous les défauts est d'en avoir aucun.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Je ne le connais ni d'Ève ni d'Adam.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Vous réparerez le chagrin que nous cause votre changement de vocation par les plaisirs que nous donneront vos succès dans le monde.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“... le bon goût est autant dans la connaissance des choses qu'on doit taire que dans celle des choses qu'on peut dire.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Qu'est-ce donc que le fond du cœur ? Un entrepôt de tout ce que nous avons de mauvais.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Qu'est-ce donc que le fond du cœur? Un entrepôt de tout ce que nous avons de mauvais.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“J'ai choisi : je ferai mon Eldorado de ce coin de terre.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Vous êtes une petite peste... Si je vous parle raison, vous me répondez par des plaisanteries ; quand je plaisante, vous me parlez comme si vous étiez ambassadeur.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Le mariage se propose la vie, tandis que l'amour ne se propose que le plaisir.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“Une femme doit alors avoir les charmes d'une maîtresse et les qualités d'une épouse.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“L'homme subjugué par sa femme est justement couvert de ridicule.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“L'influence d'une femme doit être entièrement secrète.”
Balzac (de) Honoré
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Honoré de Balzac
“L'imagination n'a pas de bornes, et les plaisirs en ont.”
Balzac (de) Honoré
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In this watercolor Gavarni portrays an individual whose father was an industrialist and whose older
“In this watercolor Gavarni portrays an individual whose father was an industrialist and whose older brother was a distinguished professor. From the looks of him, Hippolyte Beauvisage Thomire had a keen eye for fashion in casual clothing, however.
He represents the new generation of bourgeois consumers that emerged during the July Monarchy. He is the modern young man off the newly invented fashion plates and out of the cast of Balzac’s Human Comedy.

Charles Baudelaire, the great cultural critic of Louis Philippe’s reign in latter years, called the artist Gavarni “the poet of official dandysme." Dandysme, Baudelaire said (in his famous essay “De l’heroisme de la vie moderne” [The heroism of modern life], which appeared in his review of the Salon of 1846), was “a modern thing.” By this he meant that it was a way for bourgeois men to use their clothing as a costume in order to stand out from the respectable, black-coated crowd in an age when aristocratic codes were crumbling and democratic values had not yet fully replaced them.

The dandy was not Baudelaire’s “modern hero,” however. “The black suit and the frock coat not only have their political beauty as an expression of general equality,” he wrote, “but also their poetic beauty as an expression of the public mentality.” That is why Baudelaire worshiped ambitious rebels, men who disguised themselves by dressing like everyone else. “For the heroes of the Iliad cannot hold a candle to you, Vautrin, Rastignac, Birotteau [all three were major characters in Balzac’s novels] . . . who did not dare to confess to the public what you went through under the macabre dress coat that all of us wear, or to you Honore de Balzac, the strangest, most romantic, and most poetic among all the characters created by your imagination,” Baudelaire declared.”
Robert J. Bezucha, The Art of the July Monarchy: France, 1830 to 1848

Dai Sijie
“Sie hat gesagt, sie habe dank Balzac etwas begriffen: daß die Schönheit der Frau ein unbezahlbarer Schatz ist.”
Dai Sijie, Balzac and the Little Chinese Seamstress

Honoré de Balzac
“De cette assise sortent les spirales des liserons à cloches blanches, les brindilles de la bugrane rose, mêlées de quelques fougères, de quelques jeunes pousses de chêne aux feuilles magnifiquement colorées et lustrées ; toutes s’avancent prosternées, humbles comme des saules pleureurs, timides et suppliantes comme des prières. Au-dessus, voyez les fibrilles déliées, fleuries, sans cesse agitées de l’amourette purpurine qui verse à flots ses anthères presque jaunes ; les pyramides neigeuses du paturin des champs et des eaux, la verte chevelure des bromes stériles, les panaches effilés de ces agrostis nommés les épis du vent ; violâtres espérances dont se couronnent les premiers rêves et qui se détachent sur le fond gris de lis où la lumière rayonne autour de ces herbes en fleurs. Mais déjà plus haut, quelques roses du Bengale clairsemées parmi les folles dentelles du daucus, les plumes de la linaigrette, les marabous de la reine des prés, les ombellules du cerfeuil sauvage, les blonds cheveux de la clématite en fruits, les mignons sautoirs de la croisette au blanc de lait, les corymbes des millefeuilles, les tiges diffuses de la fumeterre aux fleurs roses et noires, les vrilles de la vigne, les brins tortueux des chèvrefeuilles ; enfin tout ce que ces naïves créatures ont de plus échevelé, de plus déchiré, des flammes et de triples dards, des feuilles lancéolées, déchiquetées, des tiges tourmentées comme les désirs entortillés au fond de l’âme. Du sein de ce prolixe torrent d’amour qui déborde, s’élance un magnifique double pavot rouge accompagné de ses glands prêts à s’ouvrir, déployant les flammèches de son incendie au- dessus des jasmins étoilés et dominant la pluie incessante du pollen, beau nuage qui papillote dans l’air en reflétant le jour dans ses mille parcelles luisantes ! Quelle femme enivrée par la senteur d’Aphrodise cachée dans la flouve, ne comprendra ce luxe d’idées soumises, cette blanche tendresse troublée par des mouvements indomptés, et ce rouge désir de l’amour qui demande un bonheur refusé dans les luttes cent fois recommencées de la passion contenue, infatigable, éternelle ? Mettez ce discours dans la lumière d’une croisée, afin d’en montrer les frais détails, les délicates oppositions, les arabesques, afin que la souveraine émue y voie une fleur plus épanouie et d’où tombe une larme ; elle sera bien près de s’abandonner, il faudra qu’un ange ou la voix son enfant la retienne au bord de l’abîme. Que donne-t-on à Dieu ? des parfums, de la lumière et des chants, les expressions les plus épurées de notre nature. Eh! bien, tout ce qu’on offre à Dieu n’était-il pas offert à l’amour dans ce poème de fleurs lumineuses qui bourdonnait incessamment ses mélodies au cœur, en y caressant des voluptés cachées, des espérances inavouées, des illusions qui s’enflamment et s’éteignent comme des fils de la vierge par une nuit chaude.”
Honoré de Balzac

“Three common themes in poetry: life, death, union, and separation. P.B. Shelley speaks to us about the acceptance of death and the possibility of transcendent union. H. Heine goes further, through the negation of life and the transcendent union in death. Balzac, in the end, with a spirit of balance, speaks to us about the ambivalence between life and death. Personally, I hold the thesis that death is the negation of life itself; where one exists, the other cannot. Thus, nothingness cannot exist for the self, except in simulation. Death is always contemplated by the other, who, in contemplating its cold visage, is reminded of the possibility of their own end and becomes terrified. The ego is an immortal transcendence in projection and emptiness in itself. If I could encapsulate what I would like to express in a maxim, it would be: “Consciousness, in life, unites all that, in life, whether united or separated, will be entirely nullified by death.”
Geverson Ampolini

José de Alencar
“Naquele tempo o comércio dos livros era, como ainda hoje, artigo de luxo; todavia, apesar de mais baratas, as obras literárias tinham menor circulação.

Provinha isso da escassez das comunicações com a Europa, e da maior raridade de livrarias e gabinetes de leitura.

Cada estudante, porém, levava consigo a modesta provisão que juntara durante as férias, e cujo uso entrava logo para a comunhão escolástica. Assim correspondia São Paulo às honras de sede de uma academia, tornando-se o centro do movimento literário.

Uma das livrarias, a que maior cabedal trazia a nossa biblioteca, era de Francisco Otaviano, que herdou do pai uma escolhida coleção das obras dos melhores escritores da literatura moderna, a qual o jovem poeta não se descuidava de enriquecer com as últimas publicações.

Meu companheiro de casa era dos amigos de Otaviano, e estava no direito de usufruir sua opulência literária. Foi assim que um dia vi pela primeira vez o volume das obras completas de Balzac, nessa edição em folha que os tipógrafos da Bélgica vulgarizam pôr preço módico.

As horas que meu companheiro permanecia fora, passava-as eu com o volume na mão, a reler os títulos de cada romance da coleção, hesitando na escolha daquele pôr onde havia de começar. Afinal decidia-me pôr um dos mais pequenos; porém, mal começada a leitura, desistia ante a dificuldade.

Tinha eu feito exame de francês à minha chegada em São Paulo e obtivera aprovação plena, traduzindo uns trechos do Telêmaco e da Henriqueida; mas, ou soubesse eu de outiva a versão que repeti, ou o francês de Balzac não se parecesse em nada com o de Fenelon e Voltaire; o caso é que não conseguia compreender um período de qualquer dos romances da coleção.

Todavia achava eu um prazer singular em percorrer aquelas páginas, e pôr um ou outro fragmento de ideia que podia colher nas frases indecifráveis, imaginava os tesouros que ali estavam defesos à minha ignorância.

Conto-lhe este pormenor para que veja quão descurado foi o meu ensino de francês, falta que se deu em geral com toda a minha instrução secundária, a qual eu tive de refazer na máxima parte, depois de concluído o meu curso de direito, quando senti a necessidade de criar uma individualidade literária.

Tendo meu companheiro concluído a leitura de Balzac, a instâncias minhas, passou-me o volume, mas constrangido pela oposição de meu parente que receava dessa diversão.

Encerrei-me com o livro e preparei-me para a luta. Escolhido o mais breve dos romances, armei-me do dicionário e, tropeçando a cada instante, buscando significados de palavra em palavra, tornando atrás para reatar o fio da oração, arquei sem esmorecer com a ímproba tarefa. Gastei oito dias com a Grenadière; porém um mês depois acabei o volume de Balzac; e no resto do ano li o que então havia de Alexandre Dumas e Alfredo Vigny, além de muito de Chateaubriand e Victor Hugo.

A escola francesa, que eu então estudava nesses mestres da moderna literatura, achava-me preparado para ela. O molde do romance, qual mo havia revelado pôr mera casualidade aquele arrojo de criança a tecer uma novela com os fios de uma ventura real, fui encontrá-lo fundido com a elegância e beleza que jamais lhe poderia dar.”
José de Alencar, Como e Por Que Sou Romancista

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